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 [AAP] Retour sur 6 mois de guerre en Provence

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Narvath
Monument Ducal
Narvath


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MessageSujet: [AAP] Retour sur 6 mois de guerre en Provence   [AAP] Retour sur 6 mois de guerre en Provence Icon_minitimeMar 15 Juin 2010 - 19:16

Citation :
Retour sur les 6 mois de conflit en Provence
Montpellier (AAP) – La Guerre de Provence qui vient de s’achever a duré près de 6 mois et enflammé pendant longtemps les cœurs, les esprits, mais aussi les terres au sud-est du Royaume de France

Les raisons de cette guerre restent encore obscures, puisque chaque partie a eu son interprétation des faits. D’un côté on a qualifié cette guerre d’opération sécuritaire, voir de guerre pour l'Empire, tandis que l'autre côté l’on a pris le partie de qualifier cette guerre d’injuste et d’injustifiée, une guerre contre leur liberté. Cette campagne des volontaires français et impériaux a duré près de 6 mois, et a vu défiler nombre d'évènements d'importance.
Il semble important aujourd’hui pour l’AAP, de revenir sur cet événement d’importance qui a enflammé le Royaume et l’Empire, et revenir aussi sur les évènements concomitants qui se sont passés en Italie.


Rappelons d'abord le départ des quatre armées françaises pour la Croisade. Le Lion de Judas, organisation réformée et jugée hérétique par L'Église Aristotélicienne, mettait à rude épreuve le Comté du Béarn, et un appel à une réaction armée fut relayé auprès des autorités des Feudataires du Royaume. Cet appel se mu bientôt en croisade, et vit le débarquement de quatre puissantes armées composées de volontaires de France devant les murs de Genève. L'Église, au dernier moment, préféra le dialogue, et les troupes françaises, pourtant prête à en découdre furent déboutées de leur volonté offensive. Les armées se tournèrent alors vers un nouvel objectif. Feignant de partir rejoindre les terres béarnaises, pour les "débarrasser du Lion", les soldats de France se concentrèrent vers un nouvel objectif : La Provence.

Cette terre, située géographiquement dans le Sud-Est du Royaume de France, fait cependant partie historiquement du Saint Empire, dirigée par sa Majesté Impériale, LongJohnSilver. Depuis trois ans déjà, la Provence avait déclaré son indépendance vis à vis de la couronne impériale, et instaurer un nouveau pouvoir, non reconnu par les autorités impériales, le Marquisat des Alpes Occidentales (MAO). Sans entrer dans les détails, ce marquisat ne prêtait pas allégeance à l'Empereur, et sa gestion temporel était laissé à un Comtesse et un Conseil élu, tandis qu'un ou une Marquis-e, assurait la cohésion des instances. Le Marquisat se dota dès lors d'institutions "libres" tel qu'une chambre héraldique et une cour d'Appel. On peut, en terme d'organisation faire un parallèle avec le système Breton ou même le système Orléannais.
Les armées françaises se dirigèrent donc vers la Provence, sans déclaration de guerre préalable et pénétrèrent alors sur les terres provençales.
S'en suivit la première partie de la Guerre.


Les Armées françaises, au nombre de quatre, mirent alors le siège devant la Capitale Aixoise, où flottaient les étendards des armées provençales, à l'abri derrière les murailles. Les Généraux français, regroupées en Connétablie de France, parurent hésiter sur la marche à suivre, puisque 3 jours passèrent sans que nuls combats viennent poindre, seulement quelques timides escarmouches. Puis l'assaut fut lancé, mais les troupes provençales s'étaient renforcées, et ce fut un échec.

Les armées françaises passèrent alors au delà d'Aix, et se postèrent à Brignoles. S'en suivit une période de calme relatif, où les forces françaises tentèrent de prendre les villes plus à l'ouest de la Capitale. Brignoles tomba bientôt, et fut rattachée aux terres impériales, Draguignan fut à deux doigt d'en faire autant. Mais les troupes françaises semblaient en infériorité, alors que les provençaux, grâce à l'apport en hommes des villes, semblaient se concentrer sur la Capitale. Finalement, les armées françaises campèrent à Brignoles, et un statu quo s'installa. Mais celui-ci fut de courte durée, puisque les armées provençales partirent à l'offensive, aidées par une armée venue de Gênes. Une terrible bataille s'engagea alors devant les murs de Brignoles, et les armées françaises furent défaites, à l'exception d'une seule, l'armée bien nommée, "In Phooka Mémoriam"(*). Les forces françaises ayant survécu se replièrent dans la ville, et bientôt, un étendard de Provence trôna devant les murs brignolais, et y mit le siège.

En parallèle, les forces provençales loyales à l'Empire, mirent à profit le départ des armées d'Aix, et prirent le château par révolte. Après des combats courts mais intense, ils tinrent les commandes, rouvrant les mines, et remettant en route l'économie du Comté. Ils tinrent le siège pendant 15 jours, mais durent se plier à la loi du champs de bataille, quand une armée provençale, combattant la milice et les défenseurs de la ville, pénétra dans l'enceinte d'Aix, et repris le contrôle du Castel Comtal. Mais les renforts français pointaient déjà à l'ouest...


La Seconde partie de la guerre vit l'arrivée de 2 nouveaux étendards, regroupant nombre de volontaires de tous bords. Une armée "mercenaire", commanditée par Son Eminence Ingeburge, et une autre, sous responsabilité de la Connétablie de France. Ces armées se dirigèrent vers Arles. Assaut fut mené en bon et dû forme et, malgré une vaillante résistance des arlésiens restés en ville, celle-ci tomba au bout de 2 jours. Aussitôt, la ville fut passé sous statut franc et déclaré de retour dans le giron impérial.

Pendant qu'une partie des français résistaient à Brignoles, et se remettaient de leurs blessures, l'autre partie, située à l'ouest, se regroupaient alors. Les deux étendards ayant fait le plein, ils se dirigèrent alors de nouveau, à l'assaut d'Aix, Capitale de Provence. Après 3 jours d'une marche harassante, les oriflammes pointèrent bientôt leurs nez, et les hostilités démarrèrent le jour même. Ces combats furent d'une cruelle violence, et les soldats, d'un côté comme de l'autre, se battirent avec détermination. Lors du premier assaut, les armées provençales furent repoussées, sans que les forces françaises n'arrivent à prendre pied devant la capitale. Le deuxième assaut fut de nouveau meurtrier, mais aboutit au même statu quo. Lors du troisième assaut, les armées françaises concentrèrent leurs forces sur une armée, qui fut décimée, mais firent un malheureux mouvement, qui les amena à passer la capitale en direction de Forcalquier, l'impasse de Provence. Les forces françaises étaient gravement amoindries, et durent dès lors se replier sur Forcalquier, tandis que les armées provençales, aussi largement touchées, se replièrent sur Aix.

A Brignoles, la défense française tenait toujours la ville. Mais la pression devenant de plus en plus forte, une partie de forces, profita de l'obscurité nocturne pour passer les lignes et se rendre dans les abords de Toulon. Après des combats intenses avec les défenseurs toulonnais, la ville tomba. L'étendard "In Phooka Memoriam" vint donc s'y adjoindre, et commença à regrouper les forces françaises de la première offensive. Des deux côtés, de nouvelles forces firent leur apparition : du côté français, une armée aux couleurs impériales, battant pavillon de la "Compagnie Saint Maurice" fut érigé à Arles et composée de nombreux volontaires de l'Empire francophone ; du côté provençal, des volontaires catalans vinrent se joindre à la guerre, et assiégèrent rapidement Toulon. Pendant 2 semaines, les français résistèrent alors à l'offensive catalane, et tinrent les murs, malgré de lourdes pertes d'un côté comme de l'autre. L'armée française fut finalement victorieuse, et réussit à repousser les catalans hors de la campagne toulonnaise, ainsi que l'armée provençale du Scorpion venue aider les catalans. Les français sortis, ils se reformèrent et se rallièrent, et tentèrent l'offensive contre les catalans repliés à Marseille, mais durent finalement faire marche arrière après avoir failli dans la destruction de l'armée catalane. A Forcalquier, les troupes françaises se réorganisèrent, et se mirent en mouvement, dans le but de passer le noeud d'Aix, en compagnie de l'armée de Saint Maurice, venant d'Arles. Les Trois armées passèrent à l'offensive conjointement, mais au bout de 2 jours d'âpres combats, elles durent se replier. Commença alors une période d'attente, où chacun pansa ses blessures. Mais le bénéfice de l'offensive, fut reprit bientôt par les provençaux, bénéficiant de l'appui de conseillers militaires bretons.
S'engagea alors la troisième partie de la guerre.


Alors que les français pansaient encore leurs plaies, le retour des combattants provençaux blessés lors de la première attaque, permit d'acquérir un avantage stratégique certain en terme numéraire. De plus, les armées françaises se retrouvaient alors isolées : Deux armées se trouvaient à Forcalquier, affaiblies par les combats précédents, une partie des troupes françaises de la première vague se trouvaient conjointement à Brignoles et Toulon, tandis qu'une autre prenait campement en ville franche d'Arles.

A Arles justement, de nouveaux renforts français et impériaux vinrent remplir les rangs, et 2 nouvelles bannières apparurent. A Aix, les armées provençales se renforcèrent, notamment par l'adjonction des forces de célèbres brigands. Ainsi renforcées, elles passèrent alors à l'action, tournant leurs courroux successivement vers les armées bloquées à Forcalquier, puis l'armée campant à Toulon. Les premiers combats de Forcalquier furent féroces. Les français, ayant eu le temps de barricader leurs positions résistèrent pendant 2 jours aux coups de boutoirs de 3 armées, et à des forces 2 à 3 fois supérieures en nombre. En effet, les armées provençales attaquaient de concert, sortant des murs de Forcalquier, et de ceux d'Aix. Le troisième jour fut le dernier jour d'une défense héroïque pour les armées françaises, qui furent défaites et dispersées.

Les armées provençales se tournèrent alors vers la ville de Toulon encore tenue par les français. Quatre armées se joignirent à la bataille côté Provence, face à la seule armée « In Phooka Memoriam ». Portant l'estocade, les provençaux, pourtant 3 fois plus nombreux, furent d'abord refoulés et ce pendant 2 jours. Un mal inhabituel prit alors la Marquise Hersende, et une trêve, plus ou moins respecté fut déclarée. Cette trêve, ne dura pas, et deux jours après, les provençaux repartirent à l'assaut, tandis que des armées françaises, parties d'Arles s'approchaient dangereusement d'Aix. L'armée française à Toulon subit de lourdes pertes, mais son oriflamme tint bon. Le chef d'armée, préférant préserver ses hommes, cacha l'étendard, et dispersa ses hommes. Les armées provençales, victorieuses finalement à Toulon, remontèrent en urgence à Aix, où un nouveau combat opposa une armée impériale et une armée française, à 5 armées provençales. Après un féroce combat, les 2 armées se replièrent sur Arles, et les armées provençales les suivirent...Les français arrivèrent en avance, et en profitèrent pour intégrer des renforts, et décidèrent alors de profiter de l'atout des remparts. Dans la confusion, l'une des armées françaises, ayant pris du retard, et étant en première ligne face à un éventuel assaut provençale, dut de résoudre à abattre son oriflamme, pour faire entrer tous les soldats en ville.

Une "drôle de guerre" se produisit alors, puisque aucun combat ne vint émailler les nuits arlésiennes, les provençaux préférant assécher les réserves en vivre françaises, plutôt que de passer à un assaut meurtrier. Un nouveau mal prit alors la chef de l'armée impériale de la Compagnie Saint Maurice, et cet étendard disparue de derrière les remparts.
Cependant, réunis autour de 4 étendards, les provençaux s'étaient regroupés, et ils finirent par aller au combat. Les remparts furent pris d'assaut et la bataille fut d'une violence inouïe. A l'aube, les provençaux se retirèrent et comptèrent de très nombreux blessés dans leurs rangs, alors que les français ne comptaient que peu de pertes. Les armées de Provence, affaiblie durement, durent alors se repliés sur Aix, non suivie par l'armée du brigand Gmat, qui resta devant les remparts, seul, finissant, au bout de deux jours, par se replier, mais pas sur Aix...
S'engage alors la quatrième phase de la Guerre.


Les armées provençales s'étant retirés sur Aix pour panser leurs blessures, Gmat choisit une autre voie, et "disparut provisoirement de la circulation". Des étendards français pointèrent alors de nouveau à l'ouest, frappés des étoiles synonymes d'une force de combat grandissante, et se rallièrent rapidement à la ville impériale d'Arles. Les blessés français de la première heure, furent rapatriés derrière les lignes, venant renforcer les rangs français. Gmat, prenant alors la tangente, vint réapparaître à Alais, et prit d'assaut la ville du Languedoc. Malgré une défense héroïque, qui permit de sauvegarder les biens de la municipalité notamment, la ville tomba et fut passée sous statut franc. Les forces languedociennes réagirent rapidement, se mobilisèrent, et reprirent la ville, défaisant l'armée de Gmat, et faisant de nouveau flotter l'étendard du Languedoc sur les murailles Alaisiennes.

Les forces françaises se remirent petit à petit, et profitèrent dès lors de l’abri de la ville d’Arles, pour mettre en place leurs rangs, fort des armées étoilés arrivées en renforts. Cependant, la décision de la Connétablie de passer à l’offensive mit du temps à arriver...les soldats français et impériaux commençaient à trépigner d’impatience. Les forces de l’Etat-Major français avaient développé un profonde offensive diplomatique en direction de l’Italie, pour contraindre les forces armées impériales, et notamment les puissantes forces armées mobilisées en Italie par les provinces de Milan, Venise, Sienne et Modène, à enfin prendre leur part dans un conflit mené au nom de l’Empereur. Cependant, malgré les efforts déployés, et les promesses d’intervention, rien ne vint. La Connétablie de France, ayant fondé son offensive sur ce point précis, fut débouté de son attente. Les soldats français à Arles, pourtant nombreux, restèrent à l’extérieur des armées, et le pire finalement fut au rendez-vous.

Un nouveau Conseil Comtal fut choisit en Rouergue, et la nouvelle Capitaine Rouergate, supprima les autorisations aux armées françaises, qui perdirent leurs bonus offensifs. Dès lors, une offensive des troupes françaises était compromise et après des mois d’attentes…la guerre prit fin, aussi rapidement qu'elle était arrivée. Les volontaires français et impériaux se retirèrent petit à petit de Provence, et le Connétable signifia dans une longue lettre la fin de la Guerre en Provence. Dans cette déclaration, Le Connétable de France, Lekaiser, signifia son « amertume » « dans le fait que le peuple provençal reste sous l'emprise de dirigeants sans scrupules, félons, hérétiques et sorciers à bien des égards ». S’en suivit alors une longue liste de récriminations à l’encontre des évènements et faits qui mirent, selon lui, en grave difficulté l’offensive en Provence. Une condamnation fut envoyé au Comte du Limousin et de la Marche d’alors, le Sire Jakamer, qui retira à l’armée du Capitaine franc Namaycush « l'agrément […] le soir même de l'assaut d'Aix ». Même condamnation fut signifié pour le retrait de l’agrément rouergate à « la Capitaine rouerguate, Eléïce de Valten dicte "Linoa", dame de Tyx », les mots prenant une tournure plus dure, puisque le Connétable qualifia son geste de « stupidité » et de « traîtrise à l'égard de la centaine de Volontaire Français et Impériaux ». S’en suivit aussi une déclaration à l’encontre des autorités impériales, et d’une condamnation à leur encontre, regrettant « que l'Empire [ne] s'engage à hauteur de la France ». Enfin, les derniers mots furent écrit à l’encontre des impériaux de Provence les invitant à continuer leurs combats, et aux volontaires français, remercier grandement par les mots, « pour leur loyauté, leur bravoure et leur courage ».

La Guerre de Provence, se finit donc ainsi, mais ses conséquences risquent d’être nombreuses et de se faire sentir dans le futur du Royaume de France.


A L’Est du Royaume de France, en terres italophones de l’Empire, un autre conflit se menait conjointement.

Rappelons d’abord que la province de Gênes, membre du groupe italophone du SRING, s’était ralliée juste avant le début de la guerre au Marquisat des Alpes Occidentales. Une armée génoise avait d’ailleurs combattu aux côtés des provençaux, puis s'était retiré lorsque les pressions diplomatiques des voisins de Gênes étaient devenues trop pressantes.

L'italie, sollicité de nombreuses fois par les instances impériales, pour agir "plus fermement" contre la dissension génoise et provençale, s'était tout d'abord borné à agir par la voie diplomatique. Sienne, Modène, Venise et Milan s'étaient joint à un effort diplomatique semblable, devant "ramener" Gênes dans le giron impérial. Cependant un évènement força la main italienne à agir avec plus de fermeté. Profitant de la nuit et du couvert de la route traversant la campagne de la ville Milanaise d'Allessandria, les soldats génois rentrés de Provence, se faufilèrent jusqu'au territoire savoyard et, mettant à profit l'effet de surprise, prirent le château du Duché. La réponse du conseil savoyard en place fut assez surprenante : n'arrivant pas à reprendre le château, malgré l'infériorité numérique des assaillants comparé à l'ensemble de la population disponible, la Duchesse en place, "négocia" la reprise du château, et autorisa en contrepartie, la constitution d'une armée génoise en territoire savoyard. La polémique enfla alors sur le petit territoire de l'empire francophone, et des accusations fusèrent contre les volontaires de Savoie, descendus honorer leurs serments à l'Empereur. Cependant, cet incident eut pour conséquence de déclencher la riposte des provinces italiennes, qui envahirent Gênes et, après un rapide combat devant la Capitale, parvinrent à faire signer la reddition unilatérale de la province. Ordre fut donné de disloquer les armées génoises.
Cependant, les autorités génoises eurent des réticences à répondre aux exigences des vainqueurs et, malgré le retrait des armées italiennes de son territoire, à l'exception de l'armée du Temple Italien, ne se plièrent pas aux demandes.

Rapidement, la situation redevint la même. Devant le refus des autorités génoises de clarifier leurs positions et de répondre aux demandes formulées par les provinces italiennes, et malgré l'accord par vote de la population génoise au retour dans le SRING, les armées italiennes reprirent alors le chemin de Gênes, pour accélérer les choses. La province fut soumise à rude épreuve et des combats sporadiques éclatèrent suite au retour des armées italiennes sur le sol génois. Bientôt, 4 armées campèrent devant la Capitale génoise, et un Conseil de transition fut choisi. Après d’âpres batailles diplomatiques et de quelques combats, Gênes revint dès lors dans le giron impériale, prouvant que la mobilisation conjointe des forces impériales, pouvaient remettre les choses en place.

Pendant 6 mois donc, le Sud du Royaume de France fut le théâtre d’une longue et terrible guerre, qui économiquement et humainement représenta un terrible coût. 6 mois qui ont vu de grandes batailles, de durs combats, des actes de bravoure, de courage, et des actes de sorcellerie. Le bilan de cette guerre semble difficile à tirer si peu de temps après, mais nul doute que les répercussions de cette longue offensive poindront dans le futur des affaires du Royaume de France.

(*) Phooka, Ancien Duc de Normandie, assassiné par les artésiens CharlesMauriceDeT. et Raoul d'Andrésy. Ce personnage historique normand est aujourd'hui l'objet d'un culte reconnu par l'Eglise Aristotélicienne. Phooka est reconnu officiellement comme étant d'Essence Divine.

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